La page est ennemie de la main qui tremble

J’écris au nom des analphabètes. Au nom des incomprises qui n’ont pas la chance de s’acharner sur une page vierge et avec des lettres ingrates, lui voler toute sa pureté et son âme. Les nuits blanches servent à faire couler de l’encre, elles servent à s’approprier la naïveté de l’âme …