Il y aurait 40 milles façons d’introduire le sujet de cet article (ou plutôt 40 milles anecdotes) de femmes en quête de l’amour avec le grand A. J’ai même d’ailleurs réécrit les 2 premières lignes de 7 manières différentes, qui au bout du compte m’apportaient au même sujet amené : le choix de notre partenaire. Voilà où les choses se corsent lorsqu’il est question du sujet posé : le bon gars ou t’sais, le bad boy?
Il en vient un temps ou l’on est tannées de fréquenter les mêmes genres de personnes, de tomber dans les mêmes vieux patterns redondants. On se dit que la prochaine fois, on ne côtoiera plus ce type de gars, mais on finit très vite par retomber dans le panneau.
« Il ne m’a pas répondu à mon SMS. »
« Il est online, mais ne vient pas me parler. »
Venez pas me dire les filles que ces deux phrases n’ont jamais été prononcées de votre vie (on a toutes un petit côté F.B.I. en nous… Peut-être l’instinct, qui sait?)!
Il y a deux types d’hommes, dans mon livre à moi. Le bon gars et le bad boy. Le bon gars que tu es fière d’emmener dans tes soupers de famille le dimanche soir, avec qui tu joues au Scrabble et qui aide ta mère à laver la vaisselle à la fin du repas (sans même lui avoir tordu un bras). Il regarde le football et prend un malin plaisir à crier avec ton père lorsque les Canadiens comptent un but.
De l’autre côté, il y a le bad boy, sur qui tu tripes ben raide! Parce qu’avec lui ton côté « Germaine » prend le bord. Tu aimes la drive qu’il apporte et son lot d’émotions fortes. Au début, c’est sûr que tout va bien. Les premiers temps, tout roule comme sur des roulettes, jusqu’à ce que vienne le moment où il doit t’introduire à sa famille ou à ses ami(e)s. Inconsciemment, tu aimes le côté inaccessible, la game, les efforts qu’il faut que tu mettes pour parvenir à un : « t’es belle » venant de sa part. Le bon gars, lui, te le dit en se réveillant avec toi (à moitié démaquillée, avec l’haleine fraîche du matin, tu vois le genre?), mais lui, tu es sans doute réellement la première chose qu’il est heureux de voir en ouvrant les yeux (l’autre ouvre ses Snapchats en se réveillant). Je n’insinue pas le fait que les bad boys sont tous pris avec le syndrome de Peter Pan, mais plutôt le fait que pour eux, bah tu es probablement une chose secondaire.
On a malheureusement tendance les à friendzoner trop rapidement ces hommes, les bons gars.
« Il est beaucoup trop gentil. »
« Ça fait longtemps qu’il n’a pas fréquenté quelqu’un. »
« Il ne m’attire pas physiquement. »
Eh bien, détrompez-vous! Au-delà de l’enveloppe corporelle, il y a cette chose au fond de nous, unique et propre à chacun : une âme. En mettant de côté les aspects matériel, monétaire et physique, il devient plus facile d’atteindre celle-ci. Je crois que bien des gens prennent un certain temps avant de le comprendre ou bien doivent se planter quelques fois avant de réaliser ceci : nous ne tombons pas en amour avec les biens d’une personne, ni même son statut social ou son côté bad boy qui nous fait tant triper au début, mais bien avec toutes ces petites choses intérieures que moi-même, je ne saurais vous expliquer. Laissez donc la chance aux coureurs (les bons gars) et prenez le temps de les découvrir! Vous pourriez être surprises!
T.
Source photo : Pinterest