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Les sorties littéraires 2020

Pour plusieurs, la nouvelle année est synonyme de «New year, new me», de résolutions de toutes sortes, bref d’un grand clean up de sa vie. Pour moi, la nouvelle année est le moment de remettre mon compteur de livres à zéro et de me donner un nouvel objectif de lecture! L’an passé, j’ai lu 99 livres, dépassant largement mon objectif. Donc, 2020 sera pour moi une année record, j’aimerais lire 100 livres. Après y avoir longtemps pensé, dans le bain, ce sera la dernière fois que je me mets un objectif de lecture. 100, c’est un bon chiffre pour arrêter de compter.

Mais en attendant, voici quelques livres de mes maisons d’éditions préférées, que j’ai hâte de lire et qui sortiront sur les tablettes dans les prochains mois!

 

1. 22 janvier : Les cachettes – Guy Lalancette (VLB Éditeur)

«La petite Claude Kérouac, onze ans, a disparu, mais il faut 48 heures à ses proches pour s’en apercevoir. Quand la police est enfin appelée, les agents découvrent une famille chaotique et désunie. Chez les Kérouac, la vérité vous file sans cesse entre les doigts. Claude, depuis le lieu où elle s’est cachée, se confie à une psychologue antipathique. Tour à tour candide et trop lucide pour son âge, parfois cruelle, elle livre sa version d’un sombre roman familial.»

 

2. 11 février : Guide d’éducation sexuelle pour le nouveau millénaire – Olivier Sylvestre (Hamac)

«Fin de l’été, 1999. Dix-sept ans, début du cégep. Faire l’amour avec So avant le bogue de l’an 2000 : c’est l’ardente quête d’Oli, dont la puberté tarde… Mais voilà qu’apparaît Ben, cet être magnétique, déjà homme, lui. Un étrange triangle se met en place, dans la confusion des sentiments. Comment nommer ce trouble qui nous envahit quand on est avec Ben? Fascination, tentation, interdit… où est la clé pour entrer dans l’âge adulte? Avant que la fin du monde ne les emporte, chacun d’entre eux va découvrir quelque chose d’important. Qu’on n’apprend pas à l’école

 

3. 18 février – Le bleu des garçons – Éric Leblanc (Hamac)

«Ces histoires sont autant d’instantanés d’une crise, où l’incompréhension ne peut pas se régler avec des mots. Quelque part entre la nouvelle, le poème et le théâtre, ces quatorze fictions mettent en lumière les tabous du désir au masculin, tels que la vulnérabilité, la langueur, le polyamour, la cruauté et l’absence de transmission. Cherchant à s’extirper de tant d’impasses, ces hommes convoquent la violence pour ne pas se noyer, puisque c’est tout ce qu’ils connaissent. On veut alors mettre le feu, abandonner, violer, tuer. Parce que sinon quoi?»

 

4. 19 février – Il préférait les brûler – Rose Aimée Automne T. Morin (Stanké)

«Rose-Aimée Automne T. Morin explore dans cette autofiction la mort et ses perversions. Une incursion déchirante au cœur de la famille, du pouvoir, du désir, de la rédemption et des responsabilités auxquelles on choisit de faire face. Ou non

 

5. 25 février – Mamaskatch – Darrel J. McLead (VLB Editeur)

«Mamaskatch (mot en langue crie proféré quand des rêves sont partagés) est un récit magnifiquement écrit, d’une honnêteté absolue, où l’on découvre avec l’auteur les forces mystérieuses et profondes transmises par sa mère qui lui permettront de survivre, puis de s’accomplir dans une vie riche, aventureuse et heureuse

 

6. 27 février – Les falaises – Virginie De Champlain (La Peuplade)

«Les Falaises fait le récit d’un chaos à dompter, d’un grand voyage onirique, historique et féminin, qui de la Gaspésie à l’Islande réunit ces survivantes de mère en fille qui admettent difficilement être de quelque part, préférant se savoir ailleurs et se déraciner à volonté

 

7. 18 mars – Méconnaissable – Valérie Jessica Laporte (Libre Expression)

«Déchirée par un désir d’authenticité qu’on lui a refusée depuis toujours, une enfant autiste fugue loin de chez elle : pendant tout un été, elle se cachera dans un terrain de camping. Ne se conformant pas à ce que l’on attend d’une fille, elle décide de vivre en garçon et, puisque ses mots font mal aux autres, elle s’enferme dans le mutisme. Elle prendra le temps d’explorer qui elle pourrait être si on ne lui imposait pas de fausses limites. Hypersensible, surdouée et curieuse, elle nous dévoile son univers, sa détresse et sa perception du monde et de ceux qu’elle appelle les humains.»

 

8. 2 avril – Et arrivés au bout nous prendrons racine – Kristina Gagnon (La Peuplade)

«Il y a le retour prudent sur le chemin des origines, le long de la côte, où les maisons boudent. La poésie mène alors à l’enfance, paraît gourmande, des bleuets en confiture, un cœur de lièvre sous la dent. Ici, les bonheurs disponibles s’empilent sur tout ce dont on ne parle pas, des pères horizon, des mères à la gorge inquiète. Et arrivées au bout nous prendrons racine annonce la réconciliation avec un territoire, ce lichen millénaire parmi lequel s’en vont renaître femme et fille, main dans la main, ébruite ce nord hostile et fertile, fait de grands espaces et de petites choses. De doigts gelés et de pain chaud. Et, surtout, de silence.»

 

9. 22 avril – Mélasse – Daniel Leblanc-Poirier (L’Hexagone)

«Après 911 et Fuck You, Daniel Leblanc-Poirier boucle la boucle d’un triptyque poétique qui explore les rapports et les correspondances entre le désir, le couple et la dépendance aux opioïdes.»

 

Ces livres feront clairement partie de mes 100 lectures de 2020, et j’espère, de mes coups de cœur de l’année. En espérant vous donner de bonnes idées de lecture! On continue, cette année, d’acheter local et indépendant le plus possible.

Bonne année et bonne lecture xo

 

 

 

Alexe.

Source photo: Unsplash

Champagne & Confetti

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